POLITIQUE

Le Conseil National de la Jeunesse (CNJ) en collaboration avec le Collectif des Jeunes pour le Développement (CJD) a organisé une énième rencontre d’échanges avec la jeunesse ce vendredi 22 septembre au Palais des Congrès de Lomé, à l’issue de laquelle une déclaration a été portée à la connaissance de tous les acteurs de la vie socio politique et économique du pays. Cette rencontre à l’endroit de la jeunesse fait suite à la chaine de manifestations publiques de tous bords que le Togo enregistre depuis quelques semaines et qui sème des germes de division, de haine et de fracture sociale surtout au sein de la jeunesse du pays. En tout état de cause, pour le CNJ et le CJD, « face aux enjeux socio-économiques et politiques liés à ces réformes,

  L’Union Musulmane du Togo (UMT) a appelé tous les Togolais ce mardi 19 septembre à cultiver la valeur de la paix où qu’ils soient, quoi qu’ils fassent et quelque soit leur bord politique. Ceci au cours d’un point de presse durant lequel les premiers responsables de l’Islam au Togo ont envoyé des messages aux populations, aux acteurs de la vie sociopolitique et enfin à la communauté musulmane en général, et aux imams en particulier. Pour El Hadj Inoussa Bouraïma, président de l’UMT, le Togo est notre pays à tous, un héritage en commun. Aussi il incombe à tous de le bâtir et de le préserver pour les générations futures. Il a donc appelé tous les Togo à travailler à la paix, en ces moments où le pays est secoué

Le Mouvements de Jeunes pour la Popularisation de la Bonne Gouvernance au Togo (MJPG) s’est inscrit en porte à faux face à la sortie médiatique de la Conférence épiscopale de ce dimanche 18 septembre. Le mouvement a également rappelé sa position sur la question des réformes avant de renvoyer tous les acteurs aux discussions à l’Assemblée Nationale afin d’appeler plutard le peuple à travers le suffrage des urnes. Ceci au cours d’un point de presse tenu par le MJPG ce mardi 19 septembre. « La constitution de 1992 qui n’est pas d’essence divine, est définitivement caduque. Elle aurait 25 ans  aujourd’hui si elle était toujours en vigueur, et sa révision serait à l’ordre du jour si elle n’était déjà opérée, dans son esprit et dans sa lettre. Vouloir s’y accrocher ne

Après avoir appelé l’ensemble de la communauté catholique à prier pour le Togo ce dimanche 17 septembre, la conférence des Evêques du Togo a rendu publique une déclaration sur la situation sociopolitique actuelle du Togo. Elle interpelle vivement les acteurs de la vie sociopolitique du pays à œuvrer sans cesse pour le retour à la constitution de 1992, répondre aux aspirations du peuple,… Voici l’intégralité de la déclaration.   « Et toi, fils d’homme, je fais de toi un guetteur pour la maison d’Israël. Lorsque tu entendras une parole de ma bouche, tu les avertiras de ma part. Si je dis au méchant : “Tu vas mourir”, et que tu ne l’avertis pas, si tu ne lui dis pas d’abandonner sa conduite mauvaise, lui, le méchant, mourra de son péché,

Le gouvernement a fait hier  13 Septembre en fin de journée, une conférence de presse sur la situation socio-politique du pays. Selon le gouvernement, depuis le 19 Août, on assiste à  « une crise et montée d’appels de la population à la révolte avec des actes qui tendent à paralyser les activités économiques du pays ». Et ce, malgré la volonté du gouvernement qui a adopté et traduit  au parlement le projet de révision constitutionnelle, en vue de ramener le calme. Le gouvernement  appelle les uns et les autres à la retenue et invite tout le monde à œuvrer pour retrouver  le climat de sérénité et de paix qui prévalaient dans le pays. Il indique qu’à l’heure actuelle, à l’Assemblée nationale, la conférence des présidents  a pris possession  et connaissance du projet