Le Togo fait du sur place depuis bientôt 60 faute à l’incapacité des actuels gouvernants de conduire les affaires de la cité. En effet, le seul maux de ce pays c’est la gouvernance médiocre qui ne laisse aucune option aux togolais de s’épanouir véritablement. Le seul bilan que défend le pouvoir actuel, c’est la paix et la sécurité. Des mots vains et vides de sens. Il a été de tout temps démontré cette paix et la fameuse sécurité est l’un d’être une réalité, le togolais souffre et n’a pas la paix du cœur ni la sécurité puisqu’ils sont permanent persécutés de manière à ce qu’ils soient frustrés et résigner.
Le fameux projet de changement de constitution est une mesure impopulaire prônée par la majorité gourmande au pouvoir. Une initiative épousée par le chef de l’Etat qui n’a mieux fait de demander une relecture de la proposition de révision constitutionnelle adoptée le lundi 25 mars 2024 par l’Assemblée Nationale.
Quel est l’intérêt de ce changement de régime alors que le Togo n’a pas finit d’expérimenter la monmindre alternance politique. Le pouvoir est confisqué par les mêmes individus qui l’exerce depuis plusieurs années, mieux la réforme de 2019 n’a pas fait ses preuves pour qu’on veuille le changer. Au Togo, de simples conférences de presse des partis politiques de l’opposition et de la société civile pour se prononcer sur la vie politique du pays sont étouffés et réprimées, ce sont ces mêmes personnes qui parlent aujourd’hui des biens fondés d’un régime politique qui consacrera ces libertés publiques qu’ils ont délibérément confisquées depuis des lustres. En gros, le manque de volonté politique, la mauvaise foi et la gourmandise politique nous conduisent à ce chaos.
En réalité, cette affaire de changement de constitution ne se repose sur aucun élément sérieux que la seule volonté de confiscation de pouvoir advitam aeternam.
À l’ouverture de la campagne électorale, c’est le lieu de demander aux togolais dans son ensemble, epris de liberté et fatigués de souffrir et voter utiles en prenant soin de sanctionner dans les urnes nos bourreaux, veuillez à ce que les résultats reflètent leurs votes.
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